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La Fondation du Collège Notre-Dame lance une campagne de sociofinancement

[caption id="attachment_10570" align="alignleft" width="300"] La présidente de la Fondation du Collège Notre-Dame, madame Sylvette Lemieux.[/caption]La Fondation du Collège Notre-Dame de Rivière-du-Loup lance sa première campagne de sociofinancement sous le thème «Pour une éducation techno-solidaire».Pour le conseil d’administration de l’organisme, les derniers mois de l’année scolaire 2019-2020 ont démontré à quel point la technologie est devenue indispensable pour la réalisation de la mission éducative au Québec. La présidente de la Fondation du Collège, Sylvette Lemieux, précise : «Tous ont constaté que l’éducation est un service essentiel. Elle ne peut être mise sur pause sous peine d’hypothéquer l’avenir de nos jeunes et notre devenir collectif. Pour la Fondation du Collège Notre-Dame, cette cause est primordiale et nécessite, elle aussi, engagement et solidarité.»Madame Lemieux rappelle que le 13 mars, afin de freiner la propagation de la COVID-19, le gouvernement du Québec annonçait la fin de l’enseignement en présence dans le réseau scolaire. Moins de dix jours plus tard, la direction et le personnel enseignant du Collège s’étaient déjà mobilisés. Ils avaient revu et adapté les pratiques pédagogiques et les contenus pour poursuivre l’enseignement à distance et assurer aux élèves l’apprentissage, l’aide, l’encadrement et l’accompagnement indispensables à leur équilibre personnel, à leur persévérance et à leur réussite.Pour Sylvette Lemieux, cette démonstration d’adaptation et d’innovation a mis en évidence l’importance d’intégrer la technologie à la vie quotidienne de tous les élèves, sans exception, dans une perspective d’équité et d’égalité des chances. Dans le contexte pandémique actuel dont on ne peut prédire la fin, la direction du Collège demeure dans l’incertitude quant à l’évolution de la prochaine année scolaire et des suivantes. Toutefois, elle veut être prête à toute éventualité, qu’il s’agisse d’enseignement et d’encadrement en présence, à distance ou en mode hybride.La Fondation du Collège Notre-Dame lance donc une campagne de financement solidaire pour appuyer le Collège dans cette nécessaire transition et parce qu’elle considère que l’éducation est une priorité sociale, communautaire et économique. Cette initiative permettra de mieux outiller les élèves et le personnel du Collège en cette ère où la technologie est indispensable au succès des études, à l’éveil à l’innovation, à l’ouverture sur le monde et à la préparation aux défis du marché du travail.La Fondation souhaite susciter 2500 dons, principalement de la part des anciennes et des anciens du Collège, mais aussi de leurs familles et de la population. Elle fait appel à la générosité que les gens peuvent consentir dans le présent contexte. Des reçus pour fins fiscales seront émis pour chaque contribution de 20$ ou plus. Une plateforme sécurisée en ligne a été conçue à cette fin.La somme amassée permettra notamment d’améliorer l’infrastructure informatique et d’accroître la puissance des canaux Internet du Collège, d’acquérir de l’équipement informatique au profit des élèves et de développer des applications d’apprentissage, des méthodes pédagogiques et des contenus numériques de pointe.Madame Lemieux rappelle que le Collège Notre-Dame célébrera son 5oe anniversaire en 2021 : «Le Collège fait partie du paysage éducatif de notre région depuis bientôt un demi-siècle et représente un actif pour la communauté. Il est un acteur important du développement socioéconomique, avec l’appui de nombreux partenaires corporatifs et institutionnels. Il se distingue en innovation pédagogique, comme le démontrent les reconnaissances obtenues sur la scène provinciale ces dernières années. Il a développé des programmes en science et technologie, en entrepreneuriat, en arts de la scène et dans diverses disciplines sportives qui ont inspiré des initiatives similaires ailleurs dans le milieu éducatif régional. La campagne de sociofinancement que nous lançons l’aidera à aller encore plus loin pour le bénéfice des jeunes du Bas-Saint-Laurent, de la Gaspésie et des Îles-de-la-Madeleine qui y réalisent leurs études secondaires.»