La nouvelle option Science-études développée par le Collège Notre-Dame séduit déjà les entreprises et les organismes de la région oeuvrant dans les domaines scientifiques et technologiques.
Le directeur d’ASTER, Maurice Fallu-Landry, y voit une occasion de stimuler les jeunes qui envisagent des études scientifiques. Il précise : « Nous remercions le Collège de son invitation à participer à la réalisation de cette initiative de formation. Nous y mettrons l'énergie et l'expertise que nous avons développée depuis 20 ans pour supporter cette nouvelle orientation éducative vers les sciences et les technologies. Ces dernières années, de nombreuses études ont mis en évidence un déclin inquiétant de l’intérêt des jeunes pour les études scientifiques. Afin de rejoindre l'attention des élèves, de leur démontrer l'importance des sciences pour notre société et d’illustrer les possibilités de carrières, ASTER a conçu des ateliers qui visent à supporter les enseignants dans leur tâche d’enseignement des concepts et des méthodes scientifiques pour les aider à stimuler l'apprentissage des jeunes dans ces matières. Parce que nous croyons en cela, nos approches épaulent le travail des enseignants dans la diffusion des savoirs scientifiques et tous nos ateliers sont développés en fonction des situations d'apprentissage et d'évaluation du ministère de l'Éducation, du Loisir et du Sport. »Pour sa part, le directeur général de la Société d’économie mixte d’énergie renouvelable (SÉMER) de la région de Rivière-du-Loup, Serge Forest, souligne : « La SÉMER est fière de s’associer à l’option Science-études du Collège Notre-Dame afin de permettre à ses élèves de découvrir et d’expérimenter des technologies émergentes et porteuses d’avenir pour notre région. Les installations de biométhanisation de la SÉMER combineront sur le même site des équipements de captation de gaz de site d’enfouissement, de réception de matières résiduelles organiques, de digestion en anaérobie, de purification du biogaz et de liquéfaction du biométhane. Si chacune de ces technologies est éprouvée et existe ailleurs dans le monde, la présence de la chaîne complète sur le même site sera une première. Les installations de la SÉMER seront uniques en leur genre et constitueront un exemple concret de la capacité d’innover de notre région. Nous sommes heureux que les élèves d’ici puissent bénéficier de cette expertise. »Le directeur général de l’Institut de technologie agroalimentaire (ITA) de la Pocatière, Jean-Marc Tardif, considère essentiel le partenariat entre son institution et le Collège dans ce projet valorisant le domaine scientifique. Il explique : « L'ITA est voué à la formation spécialisée en agroalimentaire et peut s'enorgueillir de racines de plus d'un siècle et demi. Reconnu pour la qualité de son enseignement, ses infrastructures modernes et l’importance accordée à l’innovation, il était naturel pour l’Institut de s’impliquer dans ce nouveau projet dynamisant l’offre scolaire bas-laurentienne et touchant directement deux de nos programmes, soit Technologie des procédés et de la qualité des aliments et Technologie de la production horticole et de l’environnement. L’intérêt des jeunes pour les sciences sera donc l’occasion, pour l’ITA, de leur faire découvrir ces facettes indispensables de l’agriculture que sont le développement et la transformation alimentaire ainsi que tout ce qui touche la protection de l’environnement en milieu rural. Nous remercions l’équipe du Collège Notre-Dame d’avoir pensé à nous impliquer et nous saluons tous ceux qui ont apporté et apporteront leur contribution à ce projet dont nous souhaitons la pérennité. »